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Résumé de la 41ème soirée filles avec un cerveau (chacune) – 14 juin 2013 - @ Catherine’s

 

 

Evelyne

Sculptures / Intention : pas de deux… un ou deux ? – exposition de fin d’année à l’école des arts d’Anderlecht avec entre autres les sculptures d’Evelyne  (ce week-end)

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Elodie

Brussels Vintage Market + trouvailles de la dernière édition


Aliénor

Festival « LOVE » Musiq’3 @ Flagey avec les highlights : Trilogy / Voces8 / Bach & la passion de Jeanne d’Arc


Isabelle / Haya

                massage-yoga thaï  (“Nuad Boran”  - Cf. yoga du paresseux)  / détente / relaxation + stage formation :
http://sampoornayogastudio.be/category/workshopsevents/ / évocation du cheminement personnel & professionnel d’Isabelle Haya.

Isabelle Sainte-Rose
                Rinko Kawauchi:
Illuminance [David Chandler, Rinko Kawauchi]


Mado Ponette
                Crêpage de chignon / Carder, peigner, crêper - Cardèreadopter une cardère ?


Suzy

                Cahier de vacances à 4 mains avec un « prince » - consigne d’écriture secrète dans un carnet vieux papier, cuir et intimités à dévoiler une fois le carnet défloré.


Francesca

                Art Théorème de Bruno Munari
                Enseigner et apprendre, arts vivants de Robert Filliou

Kate
                Lectures en cours, biographies de femmes : François Caradec : Jane Avril au Moulin Rouge avec Toulouse Lautrec & Berthe Morisot de Dominique Bona


Catherine

                1 texte lu finalement pas lu : "la danse des grand-mères" de Clarissa Pinkola Estès
                1 livre pas encore lu mais déjà bien appréhendé : « Les femmes dans l'histoire de la psychanalyse » de Sophie de Mijolla
                1 film vu et aimé tiré du livre pas lu, lui : Les particules élémentaires
                1 livre lu mais pas vraiment évoqué, quoique : Mes alliances: Histoires d'amour et de mariages d’
Elizabeth Gilbert


Milady
                Editions Gitan   +  Le Marabout flash ‘frigidité & Impuissance’ en introduction à la question ouverte et multiple venue depuis la déplorable sensation que les carcans persistent dans la sexualité, y compris celle, intime, de son propre imaginaire. Que l’on soit dans des pratiques « vastes » ou « classiques » (et tout au milieu), c’est quand la notion de variations, de possibles, d’explorations s’atténue par les divers jougs sociaux, culturels, familiaux et personnels. Où trouver et comment garder sa liberté de choix et d’action dans sa sexualité ?


Prochaine soirée fin septembre/début octobre.

Si intéressée à recevoir l'invitation, imèl sur milady renoir milady renoir (at) gmail . com tout attaché.

 

 

21:48 15/06/2013 | Lien permanent | Tags : girlz |  Facebook

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16/01/65 Minneapolis

 

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"Un insecte identifie la lumière avec l'air, la sortie - ainsi un insecte enfermé dans un tube se tuera à force de se jeter contre une paroi de verre éclairée par une lumière, ignorant l'issue qui se trouve derrière lui dans l'obscurité."

Susan Sontag, JOURNAUX- VOLUME II

13:05 10/06/2013 | Lien permanent | Tags : lis tes ratures, humoeurs |  Facebook

Marilyn désossée d'Isabelle Wéry - rencontre

Lecture de Marilyn désossée d'Isabelle Wéry il y a qqs jours à Ostende. Rencontre avec Isabelle Wéry autour du roman ce mardi 11 juin à La Librairie La Licorne 18h30, Chaussée d'Alsemberg 656 Uccle. Rencontrée animée par Milady Renoir. BIENVENUS tous, lecteurs amateurs ou aguerris.

 

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09:42 10/06/2013 | Lien permanent | Tags : act-u, lis tes ratures |  Facebook

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EnVie de LectureS

La sculpture du vivant / Le suicide cellulaire ou la mort créatrice
Éditions du Seuil, 1999 - mise à jour 2003

Nous sommes chacun une nébuleuse vivante, un peuple hétérogène de milliards de cellules, dont les interactions engendrent notre corps et notre esprit. Aujourd'hui, nous savons que toutes ces cellules ont le pouvoir de s'autodétruire en quelques heures. Et leur survie dépend, jour après jour, de leur capacité à percevoir les signaux qui empêchent leur suicide. Cette fragilité même, et l'interdépendance qu'elle fait naître, est source d'une formidable puissance, permettant à notre corps de se reconstruire en permanence. A l'image ancienne de la mort comme une faucheuse brutale se surimpose une image radicalement nouvelle, celle d'un sculpteur au cœur du vivant, faisant émerger sa forme et sa complexité.

Cette nouvelle vision bouleverse l'idée que nous nous faisons de la vie. Elle permet une réinterprétation des causes de la plupart de nos maladies et fait naître de nouveaux espoirs pour leurs traitements. Elle transforme notre compréhension du vieillissement.

C'est un voyage que propose ce livre. Un voyage à l'intérieur de nous-mêmes, de nos cellules et de nos gènes. Une plongée vers le moment où commence notre existence, à la rencontre du suicide cellulaire à l’œuvre dans la sculpture de notre corps en devenir ; mais aussi une plongée vers un passé plus lointain, au travers de centaines de millions d’années, à la recherche des origines du pouvoir étrange et paradoxal de s’autodétruire qui caractérise la vie. Un voyage à la découverte de l’une des plus belles aventures de la biologie de notre temps. Comme toute exploration d’un pan inconnu de notre univers, ce livre nous révélera des paysages d’une grande beauté. Il nous permettra aussi de ressentir combien la science peut parfois entrer en résonance avec nos interrogations les plus intimes et les plus anciennes.

Genèse et devenir
Echo scientifique et littéraire
Revue de presse

Jean Claude Ameisen présente :
La sculpture du vivant

1.                      -Le Monde,Débat
«Au coeur du vivant, l’autodestruction», 16 octobre 1999

Choix d’interventions radiophoniques :

1.                      -France Inter, Sur les épaules de Darwin Jean Claude Ameisen

2.    Episode 9 : «Le suicide cellulaire», 30 octobre 2010

3.    Episode 6 : «Le suicide cellulaire (2)», 9 octobre 2010

Choix d’interventions audiovisuelles :

1.                      -EHESS - XXIXe Conférence Marc-Bloch
EHESS, 12 juin 2007

2.                      -Arte, PhilosophieRaphaël Enthoven
Vie, 27 juin 2010

Choix d’interviews dans la presse écrite :

1.                      -La Recherche«Jean Claude Ameisen : apologie du suicide cellulaire», propos recueillis par Olivier Postel-Vinay, janvier 2001

2.                      -Lyon capitale, Culture : «La mort est un principe créateur du vivant», propos recueillis par Pierre Tillet, 5 avril 2000

3.                      -Science & Vie. Dossier hors série : La vie au tout début : «Mort cellulaire: un sculpteur inattendu», propos recueillis par Emmanuel Monnier, mars 2000

 

lis tes ratures,ego trip-e (Stills from Erró’s Mecamorphosis)

13:09 04/06/2013 | Lien permanent | Tags : lis tes ratures, ego trip-e |  Facebook

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Hysterical Literature

Visionner ça et/ou ça et puis:

"Le terme d'hystérie vient du médecin grec Hippocrate, qui inventa ce mot pour décrire une maladie qui avait déjà été étudiée par les Égyptiens. Le terme est dérivé du mot grec hystera, signifiant l'utérus. La maladie était donc intimement liée à l'utérus ; la théorie admise étant que celui-ci se déplaçait dans le corps, créant les symptômes. Platon décrivait ainsi ses causes et ses manifestations dans Timée : « L'utérus est un animal qui désire engendrer des enfants. Lorsqu'il demeure stérile trop longtemps après la puberté, il devient inquiet et, s'avançant à travers le corps et coupant le passage à l'air, il gêne la respiration, provoque de grandes souffrances et toutes espèces de maladies. »

Au Moyen Âge, les hystériques (sorcières4, etc.) étaient considérées comme possédées par le diable et souvent brûlées. La célèbre affaire de Loudun à la fin du XVIIe siècle donne une idée de la peur que suscitaient ces femmes et implicitement tout ce qui se rattachait à leur sexualité.

Charles Le Pois fut l'un des premiers médecins à prétendre avoir localisé mentalement l'hystérie en 1618, et cette idée fut défendue âprement par Thomas Willis. Plus tard, le médecin Paul Briquet en décrivit systématiquement les manifestations qu'il a consignées dans son Traité de l'hystérie publié en 1855 et basé sur une clinique de 430 patientes vues à l'hôpital de la Charité à Paris. Il y définit la maladie comme une « névrose de l'encéphale dont les phénomènes apparents consistent principalement dans la perturbation des actes vitaux qui servent à la manifestation des sensations affectives et des passions ». Il dénombra un cas d'hystérie masculine pour 20 cas d'hystérie féminine. Il prétendait que cette affection était absente chez les religieuses mais fréquentes chez les prostituées. Il a aussi mis en évidence une composante héréditaire (25 % des filles d'hystériques le devenaient elles-mêmes). Il a encore mis en évidence que l'affection touchait les couches sociales inférieures et était plus fréquente à la campagne qu'en ville.

C'est ensuite le neurologue Charcot qui - tout en conservant l'idée d'une localisation cérébrale et à son corps défendant - promut l'idée d'une origine psychogène de l'affection en faisant apparaître et disparaître les symptômes par hypnose. Il décrivait les manifestations de la grande crise hystérique en cinq périodes :

    Les grandes attaques hystériques,

    les formes mineures (crise syncopale, la crise à symptomatologie de type extra-pyramidal, l'hystéro-épilepsie, les crises tétaniformes),

    les états crépusculaires et états seconds (l'état crépusculaire hystérique, d'autres états crépusculaires, dits aussi « états seconds »),

    les amnésies paroxystiques,

    les attaques cataleptiques.

Joseph Babinski proche collaborateur de Charcot a, lui, déploré le manque de précision des descriptions du trouble hystérique. Il a ainsi distingué ce que n'est pas l'hystérie : « une maladie localisable, susceptible d'une définition anatomo-clinique et d'une description par accumulation de signes » et ce qu'elle était : « les phénomènes pithiatiques qui peuvent être reproduits par la suggestion ». (Babinski forge les termes pithiatique, pithiatisme en lieu et place d'hystérique, hystérie en 1901). À la suite de ses travaux, la névrose est trop souvent devenue ce « qui n'existe pas pour les neurologues ». À l'opposé, Ambroise-Auguste Liébeault et Bernheim de Nancy défendaient l'idée que l'hystérie était d'origine affective et émotive en promouvant le traitement par psychothérapie. Dans la même période, le neurologue Paul Julius Möbius s'est aussi intéressé à l’hystérie en en donnant la définition suivante en 1888, définition qui précédait et annonçait les théories de Freud, Breuer et Janet : « Sont hystériques toutes les manifestations pathologiques causées par des représentations ». Puis : « Une partie seulement des phénomènes pathologiques correspond par son contenu aux idées motivantes, c.à.d. à celles provoquées par des suggestions étrangères et des autosuggestions, dans le cas, par exemple, où l'idée de ne pouvoir mouvoir le bras entraîne une paralysie de celui-ci. D'autres phénomènes hystériques, tout en émanant bien de représentations, ne leur correspondent pas au point de vue du contenu8. » Il prétendait ainsi que les manifestations hystériques sont idéogènes. "

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Peter Stackpole. Elizabeth Taylor and Montgomery Clift. 1950

22:06 03/06/2013 | Lien permanent | Tags : humoeurs |  Facebook

auto-adage

Le trouble est mon/l' organe vital le plus indécent, après le coeur.

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21:54 03/06/2013 | Lien permanent | Tags : humoeurs |  Facebook